Selon l'ORTC, on a enregistré dans les ports et aéroports de Corse en avril 2010 458 865 passagers (entrées+sorties). Sur un an, le flux a stagné (+0 %). En données cumulées sur 12 mois, que l’on utilise pour lisser (très fortes variations saisonnières bien évidemment), les flux restent en progression, mais celle-ci tombe à +6,4 % après +6,7 % an mars. Cette statistique retrouve tout son intérêt désormais, car les flux de transport progressent fortement désormais.
Concernant les modes de transport, le maritime a comptabilisé 289 308 passagers (entrées+sorties) soit +15,5 % et l’aérien 169 557, soit -18,6 %. Inutile de préciser que cette forte divergence de direction entre les deux types de transport est liée à l’arrêt du trafic aérien lors du passage du nuage issu du volcan islandais.
Alors difficile de déceler une tendance alors qu’un gros choc a affecté les flux de tourisme dans l’île. Toutefois, le fait que le mois d’avril 2010 soit un mois de stagnation par rapport à avril 2009 et que celui-ci était fortement négatif par rapport à avril 2008, nous incite à la prudence. De plus, ceci vient ajouter un peu plus d’inquiétude après les mauvais signaux envoyés par notre indicateur de demande touristique pour la Corse,
En conclusion, il est encore bien trop tôt pour passer de l’inquiétude sur la saison future au pessimisme et a fortiori à s’alarmer. Mais, il faut aussi bien se rendre compte que les premiers mouvements ne poussent pas à l’optimisme.
Concernant les modes de transport, le maritime a comptabilisé 289 308 passagers (entrées+sorties) soit +15,5 % et l’aérien 169 557, soit -18,6 %. Inutile de préciser que cette forte divergence de direction entre les deux types de transport est liée à l’arrêt du trafic aérien lors du passage du nuage issu du volcan islandais.
Alors difficile de déceler une tendance alors qu’un gros choc a affecté les flux de tourisme dans l’île. Toutefois, le fait que le mois d’avril 2010 soit un mois de stagnation par rapport à avril 2009 et que celui-ci était fortement négatif par rapport à avril 2008, nous incite à la prudence. De plus, ceci vient ajouter un peu plus d’inquiétude après les mauvais signaux envoyés par notre indicateur de demande touristique pour la Corse,
En conclusion, il est encore bien trop tôt pour passer de l’inquiétude sur la saison future au pessimisme et a fortiori à s’alarmer. Mais, il faut aussi bien se rendre compte que les premiers mouvements ne poussent pas à l’optimisme.