Selon SESP, en septembre 2008, sur les 12 derniers mois (cumul sur 1 an), on a compté :
• 5 860 permis de construire, soit une hausse de 24,2 % sur un an. Par rapport à août 2008, les permis de construire sont en baisse de 6,2 % ;
• 2 736 mises en chantier, soit une chute de 21,2 % sur un an. Par rapport à août 2008, les mises en chantiers reculent de 4,9 %.
Le mois précédent (août donc), les permis progressaient de 49,1 % sur un an et les mises en chantiers baissaient de 15,1 %.
Les mises en chantier sont en chute libre et sont revenues à leur niveau de fin 2005. Du côté des permis, la progression sur un an reste très forte. Toutefois, le décrochage très net entre les mises en chantier et les permis qui vont en sens inverse l’un de l’autre, montre que la bonne performance sur les permis ne se traduit pas par un surcroît d’activité dans le secteur.
Le recul des mises en chantier est le plus important enregistré depuis que la série est disponible mensuellement, à savoir 2003. La dégradation de l’activité dans la construction semble être maintenant amorcée (ce que confirment les droits de mutation et les crédits) et pour l’instant la correction est brutale.
• 5 860 permis de construire, soit une hausse de 24,2 % sur un an. Par rapport à août 2008, les permis de construire sont en baisse de 6,2 % ;
• 2 736 mises en chantier, soit une chute de 21,2 % sur un an. Par rapport à août 2008, les mises en chantiers reculent de 4,9 %.
Le mois précédent (août donc), les permis progressaient de 49,1 % sur un an et les mises en chantiers baissaient de 15,1 %.
Les mises en chantier sont en chute libre et sont revenues à leur niveau de fin 2005. Du côté des permis, la progression sur un an reste très forte. Toutefois, le décrochage très net entre les mises en chantier et les permis qui vont en sens inverse l’un de l’autre, montre que la bonne performance sur les permis ne se traduit pas par un surcroît d’activité dans le secteur.
Le recul des mises en chantier est le plus important enregistré depuis que la série est disponible mensuellement, à savoir 2003. La dégradation de l’activité dans la construction semble être maintenant amorcée (ce que confirment les droits de mutation et les crédits) et pour l’instant la correction est brutale.