Les données dans les graphiques et les commentaires font donc référence aux catégories ABC et les pourcentages représentent l’évolution par rapport à la même période de l’année 2008.
Ainsi, Selon la Dares, en mars 2009, on a compté :
• 12 730 chômeurs, soit une hausse de 5,9 %, soit 710 chômeurs de plus. Il s’agit du plus mauvais résultat depuis août 2004. En février, la hausse était de 3,7 % ;
• 2 270 chômeurs de catégorie 1 de longue durée (+ de 1 an), soit une hausse de 4,1 % sur un an. En février, la hausse était de 4,6 % ;
• 1 870 chômeurs de - de 25 ans, soit une hausse de 10 %, après +7,7 % en février.
Le marché du travail continue de se dégrader. Ceci est compatible avec un taux de chômage supérieur à 8,5 % au 1er trimestre de 2009 (rappel : taux de chômage à 8 % fin 2008). On reviendrait ainsi, sur les niveaux de début 2007. Toutefois, par rapport au continent, la hausse du nombre de chômeur reste plus modérée (+13,5 % au niveau national hors DOM en mars). Du côté des plus fragiles (jeunes et longue durée), ce sont surtout les jeunes qui souffrent le plus, avec une hausse de 10 %, niveau critique que la Corse a déjà connu brièvement mi-2004.
Ainsi, Selon la Dares, en mars 2009, on a compté :
• 12 730 chômeurs, soit une hausse de 5,9 %, soit 710 chômeurs de plus. Il s’agit du plus mauvais résultat depuis août 2004. En février, la hausse était de 3,7 % ;
• 2 270 chômeurs de catégorie 1 de longue durée (+ de 1 an), soit une hausse de 4,1 % sur un an. En février, la hausse était de 4,6 % ;
• 1 870 chômeurs de - de 25 ans, soit une hausse de 10 %, après +7,7 % en février.
Le marché du travail continue de se dégrader. Ceci est compatible avec un taux de chômage supérieur à 8,5 % au 1er trimestre de 2009 (rappel : taux de chômage à 8 % fin 2008). On reviendrait ainsi, sur les niveaux de début 2007. Toutefois, par rapport au continent, la hausse du nombre de chômeur reste plus modérée (+13,5 % au niveau national hors DOM en mars). Du côté des plus fragiles (jeunes et longue durée), ce sont surtout les jeunes qui souffrent le plus, avec une hausse de 10 %, niveau critique que la Corse a déjà connu brièvement mi-2004.
Du côté des offres d’emplois, le niveau reste mauvais (offres totales ou durables en repli de plus de 10 %).
NB : du fait de la forte saisonnalité du marché du travail en Corse, pour bien apprécier la tendance, il faut regarder les données en variation sur un an. Les variations mensuelles ne sont pas pertinentes.
Rappel : les définitions dans les différents types de chômeurs ont été modifié en mars. Attention, le thermomètre du chômage a changé, la catégorie 1 (et les autres) a disparu, laissant la place à la catégorie A. De plus, il est désormais plus correct de faire référence au nombre de chômeurs catégories ABC, qui tiennent compte plus fidèlement des personnes sans emploi cherchant un travail. Le changement a eu pour effet de modérer les rythmes de progression qui étaient précédemment observés sur la catégorie 1. Cependant, les tendances restent identiques.
NB : du fait de la forte saisonnalité du marché du travail en Corse, pour bien apprécier la tendance, il faut regarder les données en variation sur un an. Les variations mensuelles ne sont pas pertinentes.
Rappel : les définitions dans les différents types de chômeurs ont été modifié en mars. Attention, le thermomètre du chômage a changé, la catégorie 1 (et les autres) a disparu, laissant la place à la catégorie A. De plus, il est désormais plus correct de faire référence au nombre de chômeurs catégories ABC, qui tiennent compte plus fidèlement des personnes sans emploi cherchant un travail. Le changement a eu pour effet de modérer les rythmes de progression qui étaient précédemment observés sur la catégorie 1. Cependant, les tendances restent identiques.